Ce nouveau projet se veut à la fois en continuité et en rupture avec la précédente mandature. En continuité parce qu’il reste, à quelques détails près, sur les trois mêmes thématiques générales, tire parti des avancées obtenues durant ces 5 dernières années, et poursuit les pistes les plus prometteuses notamment autour du micro-environnement tumoral, et des interactions entres cellules tumorales et cellules du micro-environnement. Bien que les problématiques des trois programmes soient distinctes, elles mettent en œuvre des outils communs faisant appel à l’analyse génétique à haut débit, à l’échelon cellulaire, intégrant les relations spatiales entre les cellules, mais également à l’intelligence artificielle, que cette nouvelle mandature met fortement en avant, exploitant nos bases de données uniques sur ces pathologies. L’objectif est de prédire la réponse au traitement à l’aide d’analyses multimodales, et d’identifier des leviers thérapeutiques et de nouvelles stratégies de traitement. Enfin, nous aborderons le parcours de vie du patient pendant et après sa maladie, sous l’angle des sciences humaines et du savoir expérientiel du patient, et intégrant l’étude des complications des traitements. Pour mener à bien ce projet de rupture, nous avons réuni des expertises multiples, impliqué de nouvelles équipes et notamment des immunologistes ainsi que la participation active d’un comité de patients et d’aidants volontaires.
Pr Marc Sanson, directeur du SiRIC CURAMUS
« La force de notre SiRIC est de rassembler des expertises de pointe du groupe hospitalier avec l’excellence et la diversité de la recherche académique de Sorbonne Université, qui font du SiRIC CURAMUS un acteur majeur de la recherche en Ile-de-France »
Loïc Carballido, secrétaire général du SiRIC CURAMUS et
Sarah Lévesque, cheffe de projet du SiRIC CURAMUS |